deadmau5 aussi de la partie
Le célèbre DJ néerlandais fera vibrer les amateurs de musique électronique de la capitale.
Animé par Paul Arcand
Votre revue de presse est de retour. Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi.
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à l'article de La Presse concernant le budget 2025 de la Ville de Montréal.
L'administration Plante dévoilera, mercredi, son dernier budget avant les élections municipales du 2 novembre 2025.
«Ce qu'on constate, c'est qu'il y a beaucoup de dépenses qui sont incontournables et qu'il y a une dépendance aux taxes foncières. Il y a les infrastructures, il faut se préparer pour les changements climatiques, la facture du transport en commun, la police, etc. Les postes budgétaires explosent à la Ville de Montréal. Mais là, on commence à jongler avec l'idée qu'il y a peut-être des affaires inutiles: les fameux chantiers, les offices, les sommets... une série d'activités qui coûtent cher, qui sont lourdes et qui n'aident pas à faire fonctionner une ville.»
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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit au plan de Donald Trump d'expulser massivement les sans-papiers des États-Unis.
Le président désigné a confirmé qu'il comptait déclarer l'état d'urgence nationale, ce qui permettrait de débloquer les ressources du Pentagone pour mettre en œuvre son plan de déportation à grande échelle.
«Sa première cible, c'est de sortir un million de ce qu'il qualifie "faux réfugiés". Parmi les stratégies utilisées, on veut construire des camps de déportation, d'expulsion, de transition [...] Ce qui est clair, c'est que c'est prioritaire pour lui, malgré l'impact économique. Il y a 11 millions de sans-papiers aux États-Unis et ces millions de personnes travaillent beaucoup dans l'industrie alimentaire, dans la production agricole, dans les usines [...] Mais c'est sa volonté d'aller de l'avant rapidement.»
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À l’occasion de sa revue de presse, lundi matin, Paul Arcand aborde le dérapage sexuel dans les Centres Jeunesse du Québec, alors qu’au moins 19 employés ont été congédiés ou ont démissionnés depuis les cinq dernières années. Les autorités locales de plusieurs CISSS et CIUSSS ont toutefois refusé de répondre aux questions du quotidien La Presse.
«C’est toujours le même principe, c’est-à-dire cette proximité des gens plus ou moins formés, peu expérimentés, qui développent des relations avec de jeunes délinquants, de jeunes bandits, de jeunes criminels, qui sont placés en institution.»
Il aborde aussi la culture de tolérance dans les centres jeunesse envers le développement de relations amoureuses entre les jeunes et leur éducateur ou éducatrice.
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Avec 40 ans de carrière derrière la cravate, Patrice L'Ecuyer s'apprête à réaliser un grand rêve, celui de faire rire les Québécois avec son premier one-man-show. Dans cette franche entrevue accordée à Paul Arcand, il revient sur son parcours de comédien, sur sa présence à la télévision qui l'a propulsé au rang de ''sex-symbol'', du terrain de jeu exceptionnel que représentait la radio et de sa solide relation d'amitié avec la seule et unique Dominique Michel.
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand réagit au déclenchement de la grève des 55 000 travailleurs de Postes Canada.
Les facteurs sont en grève depuis 00h01 après qu'aucun progrès n'ait été fait à la table de négociation.
La société d'État a affirmé qu'elle fera de son mieux pour réduire au maximum les impacts sur les services.
«La grande question que tout le monde se pose, c'est quels seront les impacts sur la livraison du courrier et des colis? [...] Ce n'est pas bien bon pour l'image de Postes Canada. C'est la préoccupation de beaucoup de consommateurs, en cette période du Vendredi fou et des achats de Noël, d'obtenir le plus rapidement possible les produits achetés en ligne. Postes Canada ne pourra pas donner le service à 100% et des commerçants vont devoir se tourner vers d'autres fournisseurs.»
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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait part de ses impressions à la suite de la tournée médiatique de la grande patronne de l'agence Santé Québec, Geneviève Biron.
Elle promet d'économiser un milliard de dollars, de réduire les dédoublements, d'uniformiser les meilleures pratiques et d'augmenter le nombre de chirurgies pratiquées chaque année.
«J'ai des doutes. Je ne sais pas trop quels mots utiliser ce matin, mais c'est décourageant. D'abord, Mme Biron utilise un langage de clichés et de phrases qui ne veulent rien dire [...] On va appeler un chat un chat, elle doit couper 1 milliard de dollars dans les dépenses. Et je le répète, c'est un mensonge de dire que ça n'a pas d'effets dans les services aux patients [...] La top gun n'est pas impressionnante jusqu'à maintenant.»
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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand se penche sur l'impopularité grandissante du gouvernement Legault.
Selon un coup de sonde Léger-Le Journal-TVA, 61% des Québécois se disent insatisfaits du gouvernement de François Legault. La Coalition Avenir Québec (CAQ) obtient 21% des intentions de vote, ce qui représente son plus bas taux d'appuis depuis 2016.
«Le chiffre le plus dévastateur pour Monsieur Legault, c'est le taux de satisfaction: 32%. Si on prend ça de l'autre côté, c'est pratiquement le deux tiers des Québécois qui se disent insatisfaits du gouvernement. Plusieurs facteurs expliquent ça, mais c'est vrai que depuis un an, depuis la saga du troisième lien, la défaite dans Jean-Talon, le message du premier ministre ne passe pas. Il pourrait annoncer la plus belle des nouvelles, c'est comme si les gens ne l'entendent pas ou il y a un scepticisme. Il y a cette grogne, cette insatisfaction du côté des citoyens.»
Toujours selon ce sondage, le Parti québécois de Paul St-Pierre-Plamondon obtient 35% des intentions de vote au Québec.
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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand aborde les nombreux enjeux dans le milieu de la santé, dont le dossier de La Presse qui met de l'avant le nombre croissant d'infirmières praticiennes spécialisées qui quittent vers le privé.
Même si le phénomène est difficile à chiffrer, l'Association des infirmières praticiennes spécialisées du Québec confirme constater cet exode.
«Pourquoi? Les mêmes raisons que beaucoup d'autres professionnels de la santé. Un horaire plus agréable, plus de faciliter pour concilier travail-famille et pour beaucoup, et ça, c'est un aspect qu'on aborde peu, [...] c'est une vision très spéciale de la façon de pratiquer la médecine. On veut prendre du temps, notamment en santé mentale, pour faire l'inventaire de l'ensemble des bobos d'un patient. Le principe, qui n'est pas reconnu, mais qui dans les faits existe, un rendez-vous, un bobo, il y en a qui ne sont pas à l'aise avec ça.»
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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente plusieurs sujets, dont cette enquête de La Presse sur des donneurs de spermes en série au Québec.
Le père, Philippe Normand, et ses deux fils, seraient les géniteurs de 700 bébés à travers la province.
Or, le père est porteur d'une maladie génétique, la tyrosinémie.
Plusieurs parents se sentent floués et ont entamé des recours juridiques.
«Les parents voient ça et se demandent si leur enfant peut développer cette maladie (...) Il n'y a pas beaucoup de collaboration du ministère de la Santé, pas beaucoup de collaboration des cliniques de fertilité. Mettez-vous à la place de ces femmes...»
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Nancy Bibeau a subi des agressions sexuelles de la part de son oncle pendant sept ans. Après neuf ans de procédures au criminel et au civil, elle vient de remporter l'ultime victoire. Elle témoigne avec aplomb et dignité au micro de Paul Arcand.