Ces photos sont exposées dans le cadre de l'exposition exmuro intitulée «Humanorium, L'étrange fête forraine» présentée du 29 juillet au 7 août.
Le problème selon cette mère de famille qui a contacté Cogeco Nouvelles (FM93) c'est que les enfants y sont attirés.
Sa voix a été modifiée afin de conserver son anonymat...
Extrait sonore (première partie)
Elle a elle-même constaté la présence d'enfants sans supervision dans les tentes. Elle nous a expliqué que les enfants pouvaient y entrer sans problème lors des trois premiers jours de l'exposition...
Extrait sonore (deuxième partie)
La police et la Ville de Québec ont été informés de la situation.
Le porte-parole de la Ville, David O'Brien, nous a expliqué que le bureau des Grands événements a fourni de l'aide technique à la présentation de cette exposition, mais affirme que c'est au musée de s'expliquer à propos du contenu.
De «l'art» aux dires des organisateurs
Questionnée sur l'objectif visé par les artistes d'exposer de telles images, Ève Cadieux, qui est en charge de la fête forraine, explique la démarche artistique derrière cette exposition...
Extrait sonore (troisième partie)
Les photographies présentées sont tirées de l'oeuvre de l'artiste catalan Joan Fontcuberta.
Mme Cadieux a aussi expliqué que l'évènement s'adresse d'abord aux adultes et par le fait même aux familles...
Extrait sonore (quatrième partie)
À la suite d'une plainte, l'organisation a mis en place des mesures supplémentaires pour s'assurer que les enfants n'aient pas accès à la tente où se trouvent les images choquantes.
On pouvait lire «18 ans +» sur un écriteau à l'entrée de la tente, et un individu y était positionné pour s'assurer que les enfants n'y entrent pas
Le FM93 a constaté que la surveillance n'était cependant pas constante.