Seules quelques dizaines de chauffeurs ont décidé de faire des raccompagnements malgré la directive de boycott, des gens qui pour la plupart qui louent la voiture d'un propriétaire de licence pour travailler.
La nouvelle étant sortie dans la journée, le mot semblait s'être passé auprès des citoyens de Québec qui ont été très peu nombreux à choisir l'option du taxi pour rentrer à la maison.
Selon David Messier, directeur aux communications du Centre Vidéotron, l'organisation de l'amphithéâtre et les citoyens sont les principales victimes des querelles entre les taxis, Uber et le gouvernement...
Extrait audio (première partie)
Si beaucoup de citoyens ont choisi leurs voitures et les navettes du RTC, il en restait tout de même quelques uns mécontents d'avoir à attendre au froid sous la pluie, qu'un taxi les raccompagne...
Extrait audio (deuxième partie)
La majorité de ces personnes avaient trouvé un taxi avant 23h30 mais on était tout de même bien loin des 300 voicutres qui devaient se présenter n'eut été de la directive de boycotter la sortie de l'amphithéâtre.