Dans cet épisode, Patrick Marsolais, Tatiana Polevoy et Chloée Deblois débattent de questions apparemment simples mais révélatrices, comme laver la vaisselle immédiatement ou laisser tremper. Chloée ne supporte pas un évier sale, tandis que Tatiana prône le lâcher-prise. La discussion s’élargit à des dilemmes personnels : publier son téléphone, revisiter son enfance ou choisir entre amour du public et collègues. Une équipe québécoise développe une intelligence artificielle capable de prédire la mort, soulevant des réflexions sur le temps et le mystère de la vie. Les animateurs abordent aussi la pression sociale sur les couples, la santé masculine, et terminent avec les nouvelles les plus « connes », dont une femme brésilienne ayant eu des jumeaux avec deux pères différents.
À l’approche de l’Action de grâces américaine, Patrick, Tatiana et Maïka débattent d’une nouvelle saveur d’Oreo à la dinde rôtie! Les animateurs invitent les auditeurs à trancher : audace gourmande ou hérésie culinaire?
Maïka se confie sur la culpabilité maternelle et l’importance de préserver son bonheur malgré les attentes parentales.
Le trio teste aussi la complicité des couples avec le « test de l’oiseau », et Chef Oli transforme un budget serré en repas savoureux.
Tatiana raconte son self-care original sous la pluie, tandis que Geneviève partage son dilemme autour d’un voyage familial.
Dans cet épisode des Lève-tôt, Patrick, Tatiana et Maïka débattent des querelles de vacances : faut-il réserver sa chaise longue à l’aube ou laisser le hasard décider ?
Maïka raconte une altercation musclée, tandis que Patrick défend le droit sacré au soleil et Tatiana critique le réveil matinal.
Bianca, l'amie de Maïke, a échappé de justesse à une fraude bancaire sournoise, et la psychoéducatrice Valérie Roy explique les effets de la dépression saisonnière et ses stratégies pour l’atténuer.
On explore aussi la « pauvreté temporelle » et l’impact des magazines pour adolescents sur l’identité, montrant comment nos choix quotidiens et nos souvenirs façonnent nos vies.